D'autres trouvent la première Dame trop en avant par rapport à son mari.Brigitte a une colonne vertébrale assez intrigante C’est un effet d’optique ou elle est bizarrement assise la Brigitte par rapport au haut du corps ?? On dirait que la personne qui dirige le pays, mains sur le bureau présidentiel, au premier plan, c'est Brigitte Elle est souple c’est tout ... ou le Photoshoper de Paris Match était bourré... Souhaitez-vous recevoir une notification lors de la réponse d’un(e) internaute à votre commentaire ?Ah si j'avais eu les 30 000 € (prix annoncé aux geux) quel bonheur de barboter dans ma piscine.Ne sont-ils pas beaux, sur cette photo où l'on veut nous faire croire que Brigitte rajeunit de jour en jour? Le site Paris Match est édité par Lagardère Média News Vous disposez déjà d'un compte sur parismatch.com avec l'email Dimanche, le Paris-Saint-Germain affrontera à Lisbonne le Bayern Munich en finale de la Ligue des champions. "Je le dis et c'est très important, au moment même où l'on a plusieurs vaccins qui sont en phase III, nous avons des perspectives qui sont raisonnables d'avoir un vaccin dans les prochains mois", a affirmé le chef d'Etat. Envie de donner votre avis ? "Aujourd'hui, le lien Macron-Merkel est devenu très fort", assure Clément Beaune, le secrétaire d'Etat aux Affaires européennes, dans le Parisien, en insistant sur "la nécessité d'un véritable alignement entre les deux pays".Lors d'une conférence de presse conjointe, Emmanuel Macron et Angela Merkel ont évoqué différents dossiers, comme la "perspective raisonnable" d'obtenir un vaccin contre le coronavirus "dans les prochains mois". Emmanuel Macron a rajouté qu'il était "extrêmement préoccupé et attristé" par la situation d'Alexeï Navalny, prévenant que "toute la clarté devra être faite" sur son état. Alexandre Loukachencko, le président contesté par la rue du Bélarus, n'a cherché à parler à aucun dirigeant européen pour évoquer la crise politique, mais ces dirigeants discutent avec son puissant voisin russe, a déclaré la chancelière allemande. Alexeï Navalny pourra recevoir "toute aide médicale" en France ou en Allemagne, "mais il faut bien sûr que la demande en soit faite", a ajouté Angela Merkel, se disant "bouleversée" par le sort de l'opposant russe en réanimation dans un hôpital en Sibérie. "Et pour nous assurer que nous aurons les capacités de les produire et les livrer à nos populations quand ils seront disponibles", a souligné le président. Sur Twitter, les internautes se moquent ainsi de la pose de Brigitte Macron, jugée tout sauf naturelle, et accusent le magazine d'avoir retouché le cliché. "Cela ne va pas régler les problèmes des prochaines semaines, mais des prochains mois", a ajouté Emmanuel Macron, se félicitant de la coordination européenne dans le recherche du vaccin.

"La position des jambes est clairement bidon par rapport à celle du torse. "Et ce qui est important aussi, c'est que l'on arrive à savoir de façon urgente comment on est arrivé à cette situation", a-t-elle dit, réclamant "la transparence". Dans les colonnes du magazine, le chef de l'Etat s'exprime sur Exclusif : Emmanuel et Brigitte Macron dans le secret de Brégançon Cependant, il s'agirait d'une opération de communication ratée selon de nombreux commentateurs. Brigitte et Emmanuel Macron accueillent la chancelière allemande Angela Merkel au Fort de Brégançon, à Bormes-les-Mimosas, le 20 août 2020 "Nous sommes évidemment prêts à apporter toute l'assistance nécessaire à Alexeï Navalny, à ses proches, sur le plan sanitaire, sur le plan de l'asile, de la protection", a-t-il ajouté à l'issue d'un entretien au fort de Bréganço© Copyright Paris Match 2020.

Le président de la République a aussi proposé une médiation européenne entre les différents acteurs de la crise au Bélarus, en liaison avec la Russie. Bon, la photo n'est pas prise de trop près. En effet, la photo de couverture fait l'objet de nombreuses railleries sur les réseaux sociaux. La pudeur est d'ordinaire de mise, surtout lors d'une visite officielle. Nous souhaitons que ce dialogue puisse être mis en place par les Biélorusses eux-mêmes. ""On ne peut pas mettre le pays à l'arrêt", déclare-t-il notamment. En cette fin d'été, "l'agenda international est particulièrement chargé", souligne l'Elysée, en listant les sujets qui devraient être abordés: la poursuite de l'épidémie de Covid-19, les crises au Mali, au Bélarus et au Liban, les tensions en Méditerranée orientale, le Brexit, les prochaines échéances européennes... Sur tous ces dossiers, Berlin et Paris partagent un "fort niveau de convergence", assure-t-on dans l'entourage du président, en se félicitant de "la vigueur" retrouvée du "couple franco-allemand". Mais Angela Merkel n'aura guère le loisir d'en profiter car, avec un entretien bilatéral, une conférence de presse et un dîner de travail, l'atmosphère s'annonçait surtout studieuse. "Un dialogue entre les autorités, l'opposition et la société civile est (...) indispensable. "Nous avons amélioré la coopération européenne sur le vaccin ensemble, en associant beaucoup d'autres États et la Commission, pour d'abord encourager nos industriels qui recherchent un vaccin", a-t-il rappelé.